Le début du XXIe s. se caractérise par une inflation muséale, l’explosion du marché de l’art et une visibilité accrue des artistes arabes. Cette leçon inaugurale interrogera ces évolutions.
Ces cours sont destinés à un public tant de passionnés que de curieux. Aucun pré-requis en histoire de l’art n’est nécessaire pout aborder ces enseignements
Mario Choueiry
Chargé de mission à l’Institut du monde arabe, Mario Choueiry est diplômé de l’École du Louvre et de l’IEP de Paris. Il enseigne l’histoire de l’art moderne à la Sorbonne Abu Dhabi et à l’École du Louvre.
4 cours de 18h30 à 20h00
15 oct. 2019 - 5 nov. 2019 - 26 nov. 2019, 10 déc. 2019
Frais d’inscription : 40€ / 22 €
Les avant-gardes arabes ne cessent de faire référence à son sens du tragique et à sa dérision ; tous ou presque ont d’ailleurs eu à un moment ou à un autre une période « cubiste » : Picasso n’a certes pas voyagé dans le monde arabe comme Matisse ou Klee, mais la connaissance de son travail est essentielle à qui veut comprendre quoi que ce soit à la peinture moderne arabe tant son influence est colossale.
5 cours de 18h30 à 20h00
14 janv. 2020, 11 fév. 2020, 3 mars 2020, 24 mars 2020, 7 avr. 2020
Frais d’inscription : 50€ / 27,5 €
Le concept « d’art populaire » a des contours flous et existe en négatif de l’art savant qui, dans le monde arabe, s’entend comme les arts de l’Islam et les beaux arts tels qu’importés d’Occident. Les liens entre ces deux mondes ne sont cependant pas si étanches. Les arts populaires (arts du feu, arts du textile, les expressions corporelles…) sont-ils « l’art du peuple » ou de « l’art d’un peuple » ?
L’inscription au cycle Picasso ouvre droit à un tarif réduit sur le cycle Arts populaires